• Le BP s’inscrit dans un contexte encore empreint d’incertitudes malgré le rebond observé. La poursuite de la crise sanitaire, les tensions sur certaines matières premières et composants et les difficultés de recrutement pourraient freiner la reprise économique.
  • L’épargne brute et l’épargne nette prévisionnelles sont en amélioration nette par rapport au BP 2021, du fait de la forte hausse des recettes et de la faible évolution des dépenses de fonctionnement.
  • Les dépenses d’investissement de 2022 s’élèvent à 841,30 M€, en augmentation de 2,03 % par rapport au BP 2021. Cependant, hors remboursement de la dette et dépenses financées par des fonds européens, l’investissement s’établit à 537,6 M€ en recul de 6,3 %.
  • La durée de désendettement serait portée à 9,19 ans à fin 2022, en léger recul par rapport à 2021.
  • Le CESER regrette enfin que des politiques affichées dans le BP ne soient pas assorties de la mise en place d’indicateurs permettant d’évaluer les politiques publiques et démontrer leur efficacité et donc la pertinence de les poursuivre, voire de les amplifier ou de les faire évoluer.