La convention définit un niveau de service en matière de confort, de régularité, de sécurité des infrastructures et de la circulation ferroviaire, de sûreté pour les voyageurs, de rapidité, d’information. Elle prévoit une augmentation globale du niveau de service exigé entre 2022 et 2031.
Dans son avis rendu le CESER note l’augmentation moyenne de 2,2 % par an de l’offre sur cette première période de la convention.
Ce rythme devra être fortement accélérée entre 2024 et 2030 pour atteindre les 67 % d’augmentation entre 2021 et 2030.
Le CESER considère que cela nécessitera des investissements en matière d’infrastructures.
En outre, la Région estime que les conditions financières seront améliorées par l’ouverture à la concurrence ce qui, selon elle, devrait permettre d’atteindre l’objectif fixé par la stratégie régionale des mobilités.